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Je m'appelle Samantha, dite Samlasorcière , et aurai bientôt 34 ans . Depuis mon adolescence j'ai toujours soumis les garçons : physiquement d'abord, virtuellement depuis la naissance d’Internet. Par la suite, pour mieux asseoir mon pouvoir, j'ai dominé aussi des filles afin de les former à dominer d’autres hommes à leur tour.

Il m'arrive parfois, pour m'amuser, d'organiser chez moi des repas avec des amies, et autant de soumis qui doivent nous servir nus et manger nos restes _ après quoi nous abusons sexuellement d'eux. Ce jour-là j'avais convié une de mes toutes nouvelles soumises, une grande blonde de 25 ans prénommée Syndie, et un de mes soumis préféré, un bon gros nounours qui s'était lui-même surnommé Girlstoy et répondait au prénom de Marc . Je pensais profiter de l'occasion pour initier Syndie à la domination ... initiée, elle le fut, mais pas de la manière que j'avais prévue

Nous étions donc toutes deux assises à table et Marc, nu, venaient de poser nos assiettes devant nous. Son sexe était tendu à la verticale et , à mon grand étonnement, il se permit de l'approcher de ma bouche en me disant "Voilà le hors d'oeuvre, maîtresse" 

Je crus à une maladroite tentative de plaisanterie et voulut le chasser du revers de la main. Mais il me saisit le poignet! Furieuse je me levai pour le gifler, mais ma main n'atteignit jamais sa cible : il venait de m'attraper l'autre poignet et me poussai en arrière

Jamais aucun homme ne s'était permis telle outrecuidance ! Je lui jetai un ordre sec mais il se contenta de me regarder en souriant et me fit assoir par force dans mon propre canapé, les bras en croix plaqué au mur ; j'ouvris la bouche pour protester et il en profita pour y enfourner sa bite, qu'il a d'un bon diamètre.  Il l'enfonça jusqu'au fond de ma gorge à tel point que je sentais ses couilles, dures et compactes, contre ma lèvre inférieure. Il était, pour ce faire, monté sur le canapé ce qui fait que je ne pouvais lui donner un coup de genou : j'étais donc, moi  Samlasorcière, entièrement à sa merci.

Il ne me demanda même pas de le sucer mais se mit, à grands coups de bassin, à baiser ma propre bouche, comme si je n'étais qu'une poupée gonflable. Cette façon de faire m'humilia énormément. Il jouit rapidement et tout au fond de ma bouche, ce qui fit que je fus forcée d'avaler son sperme, ce dont j'ai horreur.  Ma honte était doublée par le fait que tout cela s'était déroulé sous les yeux d'une de mes soumises.

Lorsque Marc retira son membre de ma bouche _ mais sans lâcher mes poignets _ je constatai que Syndie s'était subrepticement rapprochée pour ne pas perdre une miette du spectacle. Je lui intimai aussitôt l'ordre de m'aider à me délivrer, mais à ma grande stupéfaction elle se tourna vers Marc et prononça ces paroles qui m'anéantirent :

« Tu l'as bien dressée cette salope Marc,  on ne va pas en rester là j'espère? On a toute la nuit pour s'amuser avec elle! »