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Cinquième partie : La filature.

Cinquième partie : Le filature.

 

Alors que le repas se termine, Sam essaye de réagir et de reprendre le dessus et même pourquoi pas, de tirer avantage de la situation. 

 

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La matinée se déroula en humiliations diverses, toutes à mon détriment. Je devais me tenir, nue et à genoux, sous mon propre bureau, sa bite dans la bouche mais sans sucer. Pendant ce temps il s'amusait sur mon ordinateur, me disant avec un clin d'oeil narquois "Je suis avec Rachel, ou Sarah) sur MSN" sans me dire de quoi ils parlaient, pour me faire frémir à l'idée qu'il pouvait leur révéler ma situation actuelle.  Puis il alla aux toilettes et quand il en ressortit me mit ses fesses sous le nez et les écarta à deux mains pour que je lui nettoie la raie avec ma langue. Plus tard il me fit allonger dans la baignoire, m'urina dessus et me laissa grelottante une demi-heure avec interdiction de toucher aux robinets. Lorsqu'il revint, il me lava à l'eau froide, puis voyant que je tremblais, me fit sortir, me dit "Je vais te réchauffer"  et me sodomisa violemment contre le lavabo. Je sentais ses couilles dures me battre les cuisses pendant que son si rigide sexe me fouaillait les entrailles. Ce n'est qu'après qu'il eut joui que je pus me sécher.

 

A midi je préparai un nouveau repas  mais il décréta que je n'avais pas le droit de manger à la même table que lui. Je dus rester nue à genoux sur le carrelage fraîchissant pendant qu'il me jetait des reliefs à la figure, ou par terre.  Après, repu, il s'endormit ;  j'en profitai pour me rhabiller et allai à la supérette du coin faire l'emplette de pommes de terres et de céleri, puis rentrai à la maison. Je posai les courses sur la table et me dépêchai de me mettre nue ; Marc s'éveilla peu après et me dit  qu'il devait repartir dans l'après-midi. Puis, avisant les céleris, il sourit, en arracha une branche, m'ordonna de me mettre à quatre pattes et me l'enfonça dans l'anus! Puis il défit la ceinture de mon jean qui traînait par terre, en fit un noeud coulant qu'il me passa autour du cou, et entreprit de me faire faire le tour de mon propre appartement en m'appelant "sa petite chienne"!  J'étouffai de honte.  Pour m'amuser, je fis mine de le mordre au mollet. En guise de représailles, il m'obligea à uriner sur mes vêtements épars sur le sol.

 

"Ce n'est pas tout ma belle" s'écria t-il subitement "je vais devoir y aller si je ne veux pas rater mon train!" Il me retira le céleri, s'agenouilla derrière moi et m'enfila de sa queue bien raide. Il jouit très vite, se retira, ragrafa son pantalon et s'en fut en me disant qu'il reviendrait quand bon lui semblerait.

 

Anéantie, je gisais au sol, lorsqu'une leur d'espoir s'alluma dans mon esprit. Si j'arrivai à savoir où Girlstoy habitait, j'aurai accès à son ordinateur et pourrai effacer ces damnées photos qui lui donnaient tant de pouvoir sur moi!  Après quoi je pourrai accessoirement lui rendre la monnaie de sa pièce. Galvanisée, je me levai d'un bond, enfilai des vêtements propres sans prendre la peine de mettre des dessous, un coupe-vent à capuche et sortis dans la rue. Je me dirigeai à grandes enjambées vers la gare où je le vis franchir la porte et monter dans un train. Je me ruai au guichet, pris un billet et, capuche rabattue, m'engouffrai à mon tour dans un wagon.

 

Le voyage fut interminable mais le désir de revanche me tenait en pleine forme. Une fois que j'aurai neutralisé cette preuve informatique, je ligoterai Marc, lui mettrai un gode vibrant dans le cul et le violerai jusqu'à ce qu'il me supplie d'arrêter. Alors je lui ferai lécher mes pieds.

 

Le terminus était en banlieue parisienne. Je repérai Marc au moment où, d'un bon pas, il s'éloignait dans le crépuscule. Mon coupe-vent étant bleu marine je n'eus aucune peine à le suivre sans me faire repérer. Après un bon quart d'heure de marche je le vis rentrer dans un immeuble en copropriété. Je me dissimulai derrière un transformateur électrique et attendis; pas longtemps, des  fenêtres s'allumèrent dans un appartement en rez-de-chaussée: désormais je savais où c'était !

 

Telle une panthère noire je courus jusqu'à une de ses portes-fenêtres que je fis silencieusement coulisser,  me cachai dans le  placard et attendis. Des bruits de canalisations, puis de chasse d'eau se firent entendre. Enfin j'entendis quelqu'un revenir, fermer la fenêtre, puis le bruit caractéristique d'un ordinateur qu'on allume.  Je patientai jusqu'à entendre le grincement d'un fauteuil de bureau sur lequel on s'assoit, et alors fis glisser tout doucement la porte du placard. Lorsque je vis la nuque  de Girlstoy, j'ouvris en grand, ne fis qu'un pas jusqu'à lui, le pris par le cou et le jetai à terre.

 

Vu l'effet de surprise,  l'issue du combat ne faisait aucun doute : dans la seconde qui suivit le pauvre Girlstoy était à plat ventre par terre et moi assise sur ses omoplates,  lui enserrant la tête de mes cuisses : il ne pouvait ni bouger, ni appeler au secours. Mais comme je cherchai des yeux quelque lien pour le ligoter, quelque chose s'entoura autour de mon cou et se mit à m'étrangler. Suffoquée, je me laissai arracher à ma proie et jeter au sol. Des larmes vinrent obscurcir ma vision, je sentis q'un m'arrachait mes vêtements, puis heureusement la pression sur ma gorge cessa mais j'étais trop affaiblie  pour me débattre quand on me lia les poignets dans le dos et qu'on me précipita dans les ténèbres de ce placard.

 

Un quart d'heure après j'en fus extraite comme un paquet et pus voir la mystérieuse personne qui avait soustrait Marc à ma vengeance : Syndie !!!

 

J'appris par la suite que durant le voyage en train il l'avait contactée afin qu'elle vienne chez lui et, comme elle n'habitait pas loin, lui avait recommandé de se faire ouvrir par le concierge. Elle s'était assoupie en l’attendant, ce qui explique pourquoi les fenêtres étaient sombres à notre arrivée.

 

"Je ne croyais pas te manquer  autant, et si rapidement" dit Girlstoy narquoisement  "mais puisque tu as fait le déplacement je vais te donner ce que tu es venue chercher" Et aussitôt il enleva son pantalon et son sexe jaillit, roide pointé vers le ciel. Syndie se baissa, me fit rouler pour me mettre à plat ventre puis s'assit sur le sol, face à moi. Elle releva sa jupe et je vis qu'elle ne portait rien dessous. Elle s'avança vers moi, me releva la tête et me força le visage contre son vagin. "Lèche, ma chérie " minauda t-elle "pendant que Marc s'amuse avec ton cul". Et c'est ce qui arriva.

 

Quand Girlstoy eut joui dans mon cul et Syndie sur ma figure, ils me retournèrent et Syndie mit une chaise à l'aplomb de ma chevelure. Pendant que Marc me baisait _ car bien entendu il n'avait absolument pas débandé, bien au contraire même semblait-il _ Syndie ôta ses escarpins et m'obligea à en sentir l'intérieur, puis mit ses pieds  nus sur ma figure et je dus les lui lécher. Elle enfourna aussi ses orteils par force dans ma bouche pour que je les lui suce. Ceci ne prit fin que lorsque Girlstoy se fut épanchée en moi.

 

Après quoi il me levèrent et, toujours attachée, m'emmenèrent à la cuisine. Nous y partageâmes un copieux repas et Marc  me nourrit très gentiment, puisque  je n'avais toujours pas l'usage de mes mains. Ensuite Syndie m'amena aux toilettes, me fit asseoir sur le trône et laissa la porte ouverte pendant que je me soulageai, me regardant pour ajouter à mon humiliation. Puis elle me ramena à la cuisine et me fit pencher sur la table que son frère avait débarrassée. Mon torse écrasé sur ce meuble, elle s'assit sur mon dos pour que je ne puisse plus bouger.

 

"Je sais pourquoi tu m'as suivi , Samantha" me dit Marc en revenant "et pour cela je vais te punir" Il me montra une raquette de ping-pong, puis disparut de ma vue ; une seconde après je sentis la raquette s'abattre sur une de mes fesses tandis que Syndie hurlait de rire!  Il me fessa fortement, puis laisse sa place à sa complice qui n'y alla pas de main morte non plus!

 

Je serrai les dents mais finis par pleurer et les supplier d'arrêter. Ils cessèrent peu après et me jetèrent sans ménagement dans l'entrée. Mes fesses me cuisaient. Profitant de ce que Marc était allé chercher mes habits, Syndie m'enjamba, releva sa jupe et m'urina sur tout le corps. J'étais accablée de honte. Enfin ce couple diabolique me détacha et je vis avec quoi elle m'avait étranglée,  puis attachée : une de mes ceintures qu'elle m'avait volé !  

 

Ils me  flanquèrent dehors nue et mes fringues à ma suite. Je me rhabillai précipitamment, encore humide de la pisse de Syndie, et l'oreille basse repris la direction du centre-ville. Tout au long  du chemin je ruminai l'échec de ma mission : non seulement je n'avais pas réussi à m'affranchir du moyen de pression de ces salopards, mais en plus je dus attendre longtemps un train et sentais tellement la pisse que je n'osai aller m'asseoir au milieu des gens. Je voyageai prostrée à l'extrémité du wagon et  ne rentrai chez moi qu'à la nuit tombée.

 

 

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